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Notre checklist pour bien choisir son courtier en Bourse

#69 Il n'y a pas que les frais à regarder...

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Loris & Abdallah

Notre checklist pour bien choisir son courtier en Bourse

Dans cette newsletter, nous allons aborder un sujet essentiel : comment choisir son courtier. 

C’est une question qui revient souvent, et jusqu’à présent, nous n’avions jamais eu l’occasion d’en faire une édition dédiée. Pourtant, pour tout investisseur, c’est un choix structurant.

Principaux courtiers à regarder selon nous

L’objectif de cette édition n’est pas de faire un comparatif détaillé des différents courtiers mais de passer en revue les critères importants à prendre en compte avant de faire son choix. En somme, de proposer une checklist.

C’est parti ⤵️ 

1 - La fiabilité

Le premier point et, de loin, le plus important, c’est la fiabilité du courtier. Lorsqu’on investit en Bourse, on confie une partie de notre patrimoine à un intermédiaire sur le long terme.

Il est donc crucial d’avoir entièrement confiance en ce courtier. Pour cela, il y a 6 points à regarder :

1 - Est-ce que le courtier risque de faire faillite ?

Pour évaluer si le courtier risque de faire faillite, il y a 3 cas de figure :

Premier cas : le courtier appartient à un groupe bancaire

Si le courtier fait partie d’un groupe bancaire, il est important de vérifier la solidité de la banque en question.

Dans le cas de BoursoBank (ex-Boursorama), cette banque en ligne appartient à la Société Générale. Certes, ce n’est pas la meilleure banque française mais elle est rentable et surtout, c’est une banque systémique.

La probabilité qu’elle fasse faillite est donc extrêmement faible car les conséquences économiques seraient trop graves.

Deuxième cas : le courtier est coté en Bourse

Si le courtier n’est pas adossé à une banque, nous préférons quand il est coté en bourse. C’est le cas par exemple de Bourse Direct ou Interactive Brokers. 

Cela permet d’accéder librement à leurs états financiers et de voir s’ils sont rentables et solides financièrement. Evidemment, il faut éviter au maximum tout intermédiaire qui est dans une situation financière délicate.

Troisième cas : Tous ceux qui ne rentrent ni dans les cas 1 et 2

Il existe des plateformes qui ne font ni partie d’une grand groupe bancaire ni ne sont cotés en Bourse. Nous estimons que c’est un point négatif mais pas rédhibitoire. 

Par exemple, on peut citer des acteurs comme Trade Republic ou Scalable Capital.

Nous allons voir qu’il y a d’autres moyens d’évaluer la fiabilité d’un courtier qui peuvent contrebalancer ce point négatif.

2 - Où est-ce que le courtier est régulé ?

Le deuxième élément crucial pour évaluer la fiabilité d’un courtier, c’est de vérifier où il est régulé.

En effet, un courtier peut être régulé dans n’importe quel pays de l’Union Européenne, comme l’Allemagne, l’Espagne, les Pays-Bas, ou encore la Belgique, et exercer dans toute l’Europe dont la France grâce au passeport européen.

Toutefois, il faut prêter attention au pays d’origine de la régulation. Certains courtiers choisissent d’être régulés dans des pays où la législation est plus souple, comme Chypre.

Etoro est régulé à Chypre

Bien que Chypre fasse partie de l’Union Européenne, sa législation et ses régulateurs sont perçus comme beaucoup moins strictes. Les contraintes imposées aux courtiers y sont plus limitées, et l’autorité de régulation chypriote a, par le passé, montré du laxisme en matière de surveillance.

Pour cette raison, nous considérons qu’un courtier régulé à Chypre est un red flag absolu, un élément rédhibitoire.

Article des Echos, le 29 septembre 2023

Nous recommandons de privilégier les courtiers avec une licence d’un pays où les régulateurs sont reconnus pour leur sérieux, comme :

  • L’AMF (Autorité des Marchés Financiers) en France

  • La BaFin en Allemagne

  • Ou d’autres régulateurs solides en Europe de l’Ouest, comme ceux des Pays-Bas ou de la Belgique

3 - Sommes-nous propriétaires de nos actions ?

Le troisième point à considérer, et qui est crucial, c’est la réversibilité de notre décision lorsqu’on choisit un courtier.

Autrement dit, on doit s’assurer que, si à un moment donné (après 5, 6 ou même 10 ans), on souhaite changer de courtier, on puisse le faire.

Pour cela, il est essentiel de vérifier si les actions ou ETF achetés nous appartiennent réellement. Par exemple, certains courtiers proposent des produits dérivés comme les CFD (contracts for difference) qui ne nous donnent pas la propriété directe de l’actif sous-jacent.

Dans ce cas, on ne posséde pas réellement les actions, et cela peut poser problème si vous voulez transférer votre portefeuille. C’est le cas chez certains courtiers comme eToro ou Trading212, qui proposent des CFD. Ces produits sont à éviter en tant qu’investisseur long terme.

Les CFD sont des produits à éviter pour des investisseurs

De façon générale, le bon réflexe à avoir est de vérifier dans les conditions générales s’il est explicitement écrit qu’on peut transférer les titres vers un autre courtier.

4 - Le service client

Un autre point important lorsqu’on parle de fiabilité, c’est la qualité du service client. À un moment donné dans un parcours d’investisseur, on sera probablement confronté à un problème, qu’il s’agisse d’une question sur une transaction, un blocage technique ou un besoin d’assistance.

Il faut donc s’assurer que le service client est réactif et capable de résoudre efficacement les problèmes.

C’est un critère difficile à évaluer avant de devenir client mais il existe des moyens d’obtenir des indications comme les commentaires sur des sites comme TrustPilot.

Note globale pour Fortuneo

Bien que ce ne soit pas un critère éliminatoire, la qualité du service client est un atout indéniable. A titre d’exemple, nous avons d’excellents retours du service client de Fortuneo.

5 - Sécurité informatique de la plateforme

Le cinquième point, souvent négligé mais tout aussi important, c’est la sécurité informatique de la plateforme.

Les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes, et la sécurité des données personnelles et des fonds est critique. Un des outils de base en matière de sécurité est la double-authentification (2FA), qui offre une couche de protection supplémentaire contre les tentatives de piratage.

Ainsi, il est indispensable de choisir un courtier qui propose la double-authentification, ce qui est le cas de l’extrême majorité des courtiers sérieux. Nous recommandons vivement à tout le monde d’activer cette fonctionnalité, particulièrement pour ceux qui ont un portefeuille conséquent.

Pour nous, un courtier qui ne propose pas cette fonctionnalité de sécurité est clairement à éviter.

6 - Quelle ancienneté ?

Le sixième point, un peu bonus, c’est l’ancienneté de la plateforme. Plus une plateforme a traversé les années et les crises, plus cela témoigne de sa solidité et de sa capacité à résister aux chocs du marché.

Cela dit, cela ne signifie pas que les nouveaux acteurs ne sont pas solides mais nous estimons qu’il y a une certaine prime à l’ancienneté, car ces courtiers ont prouvé leur fiabilité au fil du temps.

⚡️ A RETENIR

La sécurité de nos fonds est primordiale. Il est largement préférable d’utiliser un courtier dont l’interface est moins agréable ou plus coûteuse, mais où notre argent et nos titres sont en sécurité.

2 - Les frais

Le deuxième point à considérer, et sans doute le plus évident, concerne les frais.

Bien sûr, nous allons parler des frais de courtage, mais il est important de comprendre qu’il existe plusieurs types de frais à surveiller, et ils peuvent varier d’un courtier à l’autre. Nous allons donc revenir sur les différentes catégories de frais à vérifier avant de faire votre choix.

1 - Les frais d’ordre

Les frais d’ordre sont souvent le premier indicateur que les investisseurs comparent. Ils peuvent varier en fonction des places de marché sur lesquelles on souhaite investir.

Le marché le plus pertinent pour beaucoup d’investisseurs français est Euronext Paris, car c’est là qu’on peut acheter des actions du CAC 40 ou les principaux ETF.

Il est donc fondamental de vérifier les frais appliqués sur ce marché. En général, les frais pour Euronext Bruxelles et Amsterdam sont similaires.

Grille tarifaire - Bourse Direct (2024)

Si tu as l’intention d’investir sur d’autres marchés internationaux, comme les États-Unis ou d’autres pays européens (Allemagne, Angleterre, Espagne, Suède, Danemark..), il faut vérifier les frais associés à ces ordres.

Certains courtiers proposent des tarifs très compétitifs pour certains marchés mais moins avantageux pour d’autres, donc tout dépendra de ton profil d’investisseur.

2 - Les autres frais

Au-delà des frais d’ordre, il existe effectivement d’autres types de frais cachés ou moins visibles.

Parmi ces frais supplémentaires, voici ceux auxquels il faut prêter une attention particulière :

1. Frais de garde : Certains courtiers facturent des frais pour la simple conservation des titres. Aujourd’hui, ce type de frais n’existe quasiment plus mais certains le font encore (autant dire qu’il faut les fuir).

2. Frais d’inactivité : Si on ne réalise aucune transaction pendant une période donnée, certains courtiers appliquent des frais d’inactivité. Ce n’est pas éliminatoire car certaines offres intéressantes comme le Crédit Agricole Investor Integral exigent un certain volume d’ordres.

3. Frais de retrait : Lorsqu’on souhaite retirer de l’argent de votre compte, certains courtiers facturent des frais.

4. Frais de conversion de devises

5. Spread : C’est l’un des frais les plus sournois car ils sont souvent caché. Il s’agit de la différence entre le prix réel du marché et le prix proposé par le courtier.

Si un courtier applique un spread, cela signifie qu’on achète des actions à un prix plus élevé ou qu’on vende à un prix plus bas que le marché. On retrouve généralement un spread conséquent sur les plateformes sans frais (ce n’est jamais gratuit).

La transparence des frais est plutôt limitée chez Trading 212

3 - La transparence des frais

Le dernier point, et non des moindres, est la transparence des frais. Comme mentionné précédemment avec les spreads, certains frais peuvent être cachés ou difficiles à détecter.

C’est pourquoi il est essentiel de privilégier les courtiers qui ont une tarification claire et détaillée. Un bon exemple de transparence en matière de frais est Interactive Brokers, un courtier que nous apprécions particulièrement chez Bourseko.

Ils fournissent des rapports très détaillés sur les frais appliqués, ce qui permet à l’investisseur de comprendre exactement où son argent va.

Avoir cette visibilité sur les coûts, même s’ils sont plus élevés, est souvent préférable à une structure de frais cachés qui, à long terme, érode les performances d’un portefeuille.

3 - La sélection d’actions et d’ETF

Un autre point crucial à prendre en compte lors du choix de votre courtier est la sélection d’actions, d’ETFs et d’instruments financiers disponibles.

Cette offre dépendra bien sûr de ton profil d’investisseur et de tes objectifs. Certains investisseurs n’ont besoin que des produits de base, comme les actions du CAC 40 ou quelques ETFs majeurs.

En revanche, d’autres préfèrent avoir accès à une large gamme de titres pour diversifier leur portefeuille sur des marchés à l’international.

1 - Le nombre d’actions, ETF et places de marchés disponibles

Beaucoup de courtiers se vantent d’offrir des milliers d’actions et d’ETFs, mais au-delà de ces chiffres impressionnants, il est essentiel de regarder quelles places de marché sont réellement accessibles.

De mon côté, sur Bourse Direct, j’ai accès à Euronext (France, Pays-Bas, Belgique), ainsi qu’à quelques autres marchés européens et aux Etats-Unis.

Cependant, si je souhaite investir en Suède, ce n’est pas possible directement via la plateforme. Je suis obligé de contacter le service client par téléphone pour passer mes ordres, ce qui complique l’accès à certains marchés (et ça coûte beaucoup plus cher). D’autres courtiers sont encore plus restrictifs.

Si tu as des objectifs d’investissement précis, comme accéder à des marchés moins conventionnels, il est important de vérifier que le courtier choisi le permet.

2 - Les autres classes d’actifs

Au-delà des actions et des ETFs, un autre aspect à considérer est l’accès à d’autres classes d’actifs. Certains courtiers offrent la possibilité d’investir dans des obligations, des crypto-monnaies, ou encore des matières premières, et cela peut être un vrai plus pour ceux qui souhaitent diversifier leur portefeuille au sein d’une même plateforme.

Bien sûr, cela ne s’applique pas dans le cadre d’un PEA, qui est strictement limité aux actions et aux ETFs.

Cela reste un bonus à considérer en fonction de tes besoins d’investissement et de ton profil d’investisseur, surtout si tu cherches à explorer de nouvelles classes d’actifs dans les années à venir.

4 - Ergonomie

Le quatrième point à considérer est l’ergonomie de la plateforme, c’est-à-dire la facilité d’utilisation du site et de l’application mobile.

La question est de savoir si la plateforme est intuitive, si elle est facile à prendre en main, que ce soit pour un débutant ou un utilisateur plus expérimenté.

En général, la plupart des courtiers proposent une application mobile, mais la qualité et l’ergonomie de ces applications peuvent varier. Les néobanques et les courtiers modernes, comme Trade Republic, se distinguent souvent par une excellente ergonomie avec des interfaces claires et faciles à utiliser. Cela les rend particulièrement accessibles pour les nouveaux investisseurs.

Interface de la plateforme Trade Republic

À l’inverse, des plateformes comme Interactive Brokers sont souvent plus riches en fonctionnalités, mais peuvent paraître plus complexes à utiliser, notamment pour des débutants. Cela dit, une fois pris en main, ces plateformes offrent un niveau de contrôle et de personnalisation plus élevé.

Cela dit, même si l’ergonomie est un aspect important à considérer, nous pensons que c’est probablement le critère le moins essentiel lorsqu’il s’agit de choisir un courtier.

Aujourd’hui, tous les courtiers font des efforts pour améliorer l’expérience utilisateur, et même les plateformes plus complexes deviennent plus accessibles après un peu de pratique.

Tant que l’interface ne présente pas de barrières insurmontables, l’ergonomie ne devrait pas être un critère décisif dans le choix du courtier, surtout si les autres aspects (frais, fiabilité, sélection d’actifs) sont satisfaisants.

5 - Autres fonctionnalités

Dans cette dernière partie, nous allons aborder les options et fonctionnalités supplémentaires qui peuvent réellement apporter un plus.

1 - Fraction d’actions et d’ETF

La possibilité d’acheter des fractions d’actions ou d’ETF est une option très intéressante, notamment pour les petits portefeuilles.

Cela permet aux investisseurs d’acquérir des actions ou des ETF qui seraient autrement hors de portée en raison de leur prix élevé, par exemple, l’action Hermès, qui coûte plus de 2000 euros aujourd’hui.

Cependant, à long terme, nous ne recommandons pas d’utiliser cette option. En effet, en achetant des fractions d’actions, on ne détient pas la propriété des titres.

Cela dit, pour commencer à investir ou pour diversifier un petit portefeuille, l’achat de fractions d’actions peut être un outil très intéressant, à condition que ce soit bien fait comme chez Trade Republic ou Interactive Brokers.

2 - Plan d’investissement programmé

Trade Republic a été le premier courtier à proposer le plan d’investissement programmé, une fonctionnalité très utile pour les investisseurs qui souhaitent appliquer une stratégie de DCA (Dollar Cost Averaging).

L’investissement programmé permet d’automatiser complètement une stratégie DCA.

Source du screenshot : Presse Citron

Bien que cette fonctionnalité soit encore relativement peu courante chez la majorité des courtiers, il est fort probable qu’elle se généralise à l’avenir, tant elle facilite la gestion des investissements, notamment pour les personnes cherchant à investir de manière régulière de façon passive.

3 - Mise au nominatif

Une fonctionnalité intéressante, particulièrement pour ceux qui investissent dans des actions françaises, est la possibilité de mettre les actions au nominatif.

Cette option offre plusieurs avantages, notamment pour des entreprises comme Air Liquide, qui récompensent les actionnaires nominatif avec des dividendes bonifiés et des actions gratuites.

Toutefois, tous les courtiers ne proposent pas cette option, et il peut y avoir des frais associés à la mise au nominatif. C’est donc un point à vérifier avant de choisir un courtier, surtout si vous envisagez de devenir actionnaire d’entreprises comme Air Liquide.

Par exemple, on remarque une différence importante sur ce sujet entre BoursoBank et Bourse Direct.

0 euros pour Boursobank vs 18 euros pour Bourse Direct

4 - Imprimé Fiscal Unique (IFU)

Enfin, un dernier point important à considérer est la question de l’imprimé fiscal unique (IFU). C’est un document qui facilite grandement la déclaration d’impôt en récapitulant automatiquement tous les gains et pertes.

Tous les courtiers ne le proposent pas pourtant, ça aide beaucoup !

De plus, pour aller plus loin, en allant chez un courtier étranger, nous n’avons pas accès à la télé-déclaration automatique des impôts.

Cela signifie qu’on doit gérer manuellement notre déclaration chaque année.

De manière générale, si tu ne supportes pas la bureaucratie, il est préférable de privilégier un courtier français qui s’occupe de la déclaration automatique à l’administration fiscale.

Conclusion

En conclusion, le choix d’un courtier dépend de tes besoins et de ton profil d’investisseur. Cependant, nous pensons que choisir un courtier fiable est non négociable.

Nous espérons que cette checklist pourra t’aider si tu te poses actuellement la question.

De plus, jusqu’au 27 août, BoursoBank propose une offre de parrainage boostée (220€ à gagner à l’ouverture). 

Si ça t’intéresse d’ouvrir un compte chez eux et que tu veux nous soutenir, voici notre code de parrainage pour profiter de cette offre : ABBE6894

Deux points importants :

  • Nous sommes tous les 2 clients de BoursoBank depuis plusieurs années et nous sommes très satisfaits (pas de frais, application ergonomique, service client réactif…)

  • Voici le lien pour retrouver les conditions générales de l’offre

On arrive à la fin de cette édition. N’oublie pas de laisser un commentaire et de la partager autour de toi, ça nous aide beaucoup pour développer cette newsletter 😊 

PS : N’hésite pas à nous dire aussi si tu souhaiterais qu’on fasse un comparatif complet entre les différentes plateformes (il sera forcément un peu subjectif).

On arrive à la fin de cette édition. Qu'en as tu pensé ?

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Passe une excellente semaine et à dimanche prochain 😊

Loris & Abdallah

Disclaimer : Je ne fais que partager mon expérience, je ne suis pas conseiller en investissement. Ces informations sont purement informatives et ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Dans tous les cas, je t’invite à systématiquement faire tes propres recherches.

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